C’est uniquement à titre informatif et chacun se doit de consulter les professionnels de santé pour obtenir les avis et les prescriptions appropriés à chaque pays et à chaque voyage précis. Je me vois obligé de préciser que je ne saurais être tenu responsable d’aucune manière des informations que je porte ci-après, c’est uniquement à titre indicatif.
Pour tout renseignement, veuillez consulter votre thérapeute, ou l’Institut Pasteur et Air France Vaccination qui sont très compétents, ainsi que tout organisme de votre choix.
Cà, c’est fait !…
Le site web du ministère français des affaires étrangères peut vous fournir de bonnes infos également…


Il peut arriver dans des contrées éloignées d’avoir recours à sa propre trousse à pharmacie.
L’automédication n’est pas toujours la première des solutions, mais lorsqu’il n’y a pas une pharmacie ni un docteur compétent dans un village reclus, vous pourrez trouver secours dans votre propre matériel.



Une Pharmacie....



Un Médecin....



Le matériel...

Par expérience du voyage, j’ai eu recours à l’automédication. Mais je suis secouriste ainsi qu’Instructeur Formateur de Premiers Secours (diplômé « Medic First Aid » puis « EFR / Emergency First Response»). Je suis toujours un membre actif de « EFR ».
Dans certaines situations j’en appelle à mon jugement, avec ma formation et les différents cas rencontrés personnellement.


Ma trousse à Pharmacie :

Je cite les médicaments que j’utilise en voyage d’après les types de troubles et symptômes, et ce sous leur nom d’appellation habituel mais vous les trouverez également sous la dénomination de produits génériques en pharmacie.

Afin de gagner de la place dans les bagages, je n’emporte jamais les emballages cartonnés, mais je prends le soin d’entourer chaque série de traitements avec un élastique, en y glissant la notice en y ayant noté l’utilisation et la posologie. Je range le tout dans un petit sac isotherme afin que rien ne souffre de la chaleur ou des chocs !...

Gardez vos ordonnances avec vous en cas de contrôle à la douane. Cà n’arrive jamais, mais pour le cas où… (Surtout pour la seringue).
Et désormais avec les nouvelles lois drastiques aéroportuaires internationales, il vaut mieux….

- Troubles gastriques et intestinaux :

Imodium, Ercefluryl 200, Smecta, Spasfon…

- Fièvre, douleur :

Paracétamol, Ibuprofène (anti-inflammatoire non stéroïdien), un anti-inflammatoire plus fort type Célestène. Un thermomètre électronique (en plastique, + solide)...
(équivalences températures : T° anale = T° réelle, T° buccale = ajouter 0.5°C, T° aisselle = ajouter 1°C)

- Coups, Traumatismes :

Un spray désinfectant style Dermaspray ou Dermachrome, des lingettes désinfectantes en sachets mono doses (à glisser dans une poche), d’autres sachets à l’arnica,
Bétadine en gel (en liquide çà peut couler dans un sac et çà tache à mort), Synthol en gel ou Ketum, Nifluril en gel, Biafine, un paquet de Kleenex, un petit savon genre hôtel, crème cicatrisante, pansements résistants à l’eau, compresses stériles, ruban adhésif, pansements étanches (type Opsite),
bandages, une paire de petits ciseaux, des stery-Strips (pour refermer des petites plaies), crème anti-démangeaison (moustiques, puces) à l’hydro-cortisone, Locoïd (+ fort, à la cortisone)…

- Divers :

- Antibiotiques large spectre (type Amoxycilline),

- Anti-allergique oral (Zyrtec ou Virlix) + Nasacort (spray nasal)

- Gouttes auriculaires (en cas de petite otite barotraumatique ou de légère infection en plongée sous-marine) contenant de la cortisone et un antibiotique local.

- Sérum physiologique en uni doses pour rincer les yeux.

- Anti-herpès, Zovirax

- une Pince à épiler pour les échardes, ainsi que des petites lames de rasoir chirurgicales pour aider à les extirper parfois.

- une Seringue et 2 aiguilles neuves (en cas d’injection nécessaire en campagne, pour ne pas contracter HIV, Hépatites, etc…)

- Préservatifs. Pensez à emmener avec vous, pour les mêmes raisons de contamination, mais par voie sexuelle, des préservatifs lors de vos voyages. Ils ne sont pas disponibles partout ou peuvent s’avérer être de mauvaise qualité.
Mon Conseil : une valeur sûre à priori est la marque « Manix » (solidité et sensibilité), alors que l’on m’a rapporté à plusieurs reprises que ceux de chez Durex pourraient être moins fiables et se rompre parfois lors de rapports sexuels normaux. Ce n’est pas un jugement mais un constat rapporté. A vérifier…
L’usage de lubrifiant adapté peut se révéler également judicieux.

- Il peut être préconisé parfois d’avoir avec soi certains Sérums en cas de morsures de serpents.

- Du fil et une aiguille à suturer peuvent se révéler importants en cas de long trek loin de toute urgence médicale.

- Anti-paludéens dans les zones à risques. Le traitement de la Nivaquine et Paludrine associés, a été remplacé par celui de la Savarine.
A priori cela n’empêcherait pas le fait d’être contaminé mais uniquement de ralentir le développement de la maladie. La protection cutanée est la première source de prévention de cette affectation très sérieuse voire mortelle ( lire en complément le message sur le Blog « Trucs et Astuces » dans la Catégorie « Conseils et Astuces »)

L’utilisation du Laryam, pourtant toujours préconisée par la majeure partie des médecins généralistes en France (qui ne sont pas compétents en valeur de maladies tropicales), peut s’avérer être une grande erreur en guise de protection.
Ce traitement ne protège pas plus contre le Paludisme que les précédents et génère de surcroît des effets secondaires très difficiles à supporter : cauchemars, grande irritabilité, réactions physiques diverses dont j’ai pu observer à plusieurs reprises les syndromes, dont vertiges, pâleurs, sueurs, tremblements, effet de choc, anaphylaxie…

La prophylaxie contre la Malaria par le Laryam est à priori désormais interdite depuis longtemps aux USA, en Angleterre et d’en d’autres pays (à vérifier).

Je déconseille fortement personnellement la prise de Laryam.

Car il faut savoir qu’en cas d’atteinte toutefois par la maladie, le seul traitement hospitalier consistera en la perfusion de cette substance par voie intraveineuse, et que si l’on est déjà sous prévention de Laryam, il n’y aura aucun effet thérapeutique du coup, et aucun moyen de traitement autre… Et mort possible si crise aigue de Palu…

Veillez à consulter les organismes compétents en la matière pour plus d’informations….

Info : dans le Nord du Laos, il est reconnu par les organismes de santé que l’affection par le Paludisme (qui est rare) n’est pas protégée par la prise des anti-paludéens et qu’il faut uniquement en guise de prévention consommer des antibiotiques spécifiques quotidiennement afin de ralentir la prolifération de la maladie le cas échéant. A savoir !…
Et dans les pays limitrophe c’est peut-être similaire ?!... A vérifier auprès des organismes sanitaires compétents…

Personnellement je ne prends aucune Prophylaxie contre le paludisme au Laos, au Cambodge et en Thaïlande.

- Vaccins : Pensez à rester à jours de vos vaccins courants et à consulter un médecin pour les vaccinations spécifiques à certains voyages.

Pour pallier aux contaminations de certaines eaux, je veille moi-même à rester vacciné contre les hépatites A et B…

- Santé féminine : Pour les serviettes et tampons, l’on trouve en règle générale tout ce qu’il faut un peu partout dans tout les pays (sinon tout du moins dans les grandes villes).
Pensez à conserver la composition de votre pilule contraceptive (la notice), ce qui vous permettra d’en trouver une similaire en dosage hormonal.
Vous trouverez ces contraceptifs oraux principalement dans les capitales.

- Soleil : Cela semble évident mais n’hésitez pas à vous protéger largement la peau avec de la crème solaire d’un indice protecteur important.

Même sous une couverture nuageuse, un coup de soleil est très vite attrapé, parfois au 2ème degré avec cloques…
Un chapeau ou une casquette permet d’éviter l’insolation.

Et n’oubliez pas de boire beaucoup d’eau.
Regardez les étiquettes des bouteilles et choisissez de préférence celles avec des bons taux de sels minéraux.
Sinon, vous trouverez des sachets de réhydratation pour les sportifs à ajouter dans vos gourdes chez de nombreux commerçants.

La chaleur trop importante cumulée à la déshydratation peut mener à un « Coup de chaleur » qui parfois peut avoir une issue mortelle…


- Bébé en voyage : Ayant beaucoup voyagé avec ma fille depuis sa naissance, sachez que l’on trouve des couches culottes partout.
Pour des trajets en contrées éloignées faites toutefois provision à la Capitale ou dans une grandes villes.
En Thaïlande, pas de problème nulle part.

Au Laos et au Cambodge, prenez vos précautions en ville, car en campagne, pas sûr (je n’ai pas fais gaffe, cela n’est plus ma recherche première depuis quelques années…).

Sachez toutefois que les Pampers sont de loin les mieux adaptées, avec des petit trous dans les élastiques sur le côtés pour éviter la transpiration en climat tropical.

Sinon l’on trouve également dans les mêmes boutiques, du lait frais ou UHT ainsi que des farines complémentaires pour les biberons, qualité sérieuse (Nestlé) et avec beaucoup de choix…

Ci-après e-mail que j’ai renvoyé ces derniers temps à une amie, Aude, avant un voyage en Thaïlande avec un enfant de 9 mois :

Concernant le voyage avec un enfant,

Yonnah a voyagé avec moi depuis qu’elle a à peine 1 an (2mois ½ sur une Ile en Thaïlande), et à 2 ans (2 mois en Malaisie), etc…
Elle est toujours vivante ...
Donc c’est vraiment faisable.

Destination Thaïlande : 11H30 d’avion pour aller à Bangkok, c’est direct avec la Thaï Airways, l’enfant dort en grande partie, c’est facile…

Pour les vaccins, vaccination normale française, moi j’avais opté pour l’hépatite A et B dès que possible, cela évite de chopper une bactérie avec l’eau, etc.., sinon rien de particulier.

Appeller Air France vaccination à Invalides, ils ont toutes les infos….

Tu trouves des couches Pampers dans toutes les boutiques, et partout, tu trouves de l’eau d’Evian, et même des farines de complément pour les biberons…

Moi j’avais pris un lit parapluie (pliant), un sac à dos porte Bébé, avec des petites roulettes pour rouler dans les aéroports ou les rues régulières, sinon une poussette canne pliante est aussi très pratique.
J’avais aussi une petite baignoire gonflable pour le bain, çà ne prends pas de place, et Bébé peut patauger longtemps en sécurité, et s’il y de l’eau froide dans la douche, je demandais une bouilloire d’eau chaude au resto…

Prends du répulsif anti-moustique en France adapté à la peau de Bébé, ainsi qu’une crème anti-démangeaison, en cas de boutons…

Sinon médocs comme pour les grands mais adaptés à Bébé avec conseil du médecin….

Et je vois énormément de gens qui voyagent avec des bouts de choux très souvent en Asie, et encore récemment au Laos… Et sans problème…


Complément d'info :

Ne te charges pas inutilement pour le trajet, et une fois à Bangkok, tu vas dans un grand supermarché, et tu cherches le lait approprié en fonction de l'âge et des peu de mots en Anglais marqués sur l'emballage.
Demandes des infos si tu veux, ils parleront bien 3 mots d'Anglais...
Tu trouves même plusieurs magasins Carrefour à Bangkok.... Regardes sur internet, notes l'adresse et vas-y en taxi...

Une fois que tu connais ton lait (ou plusieurs), achètes en un, et cela te servira de référence au travers du pays...
Et pour l'eau, il ya en général un dessin de bébé dans un coin... Tu trouveras même de l'Evian en général...

Même froid çà va, souvent ce n'est pas la peine de faire chauffer l'eau, elle est déjà tiède, il suffit d'attendre 5 minutes de plus que çà gonfle...
(C'est sérieux, je n'ai pas élevé un poulain, et Yonnah a 10 ans aujourd'hui !)

Sinon tu demandes au resto où tu manges de la faire chauffer vite fait dans la bouilloire.
Gratuit, évidemment, les enfants c'est sacré, même si tu ne manges pas...

Tu trouveras même du lait frais dans le frigo des boutiques !

Un plan : Les "7/eleven", petits supermarchés modernes ouverts 24/24, et il y a toujours un micro-onde pour faire chauffer les hamburgers et les pizzas.
Achète une bouteille d'eau ou n'importe quoi, et demandes à utiliser le micro-onde. Le plan facile...

Mais aucun souci, la Thaïlande est très moderne désormais...!


Attention, les nouvelles lois aériennes internationales sont devenues drastiques au passage des rayons X avant de monter en avion, même avec un bébé...

J'ai mis des infos sur ce sujet ainsi que concernant Bébé, l'équipement et la santé sur le Blog à l'adresse suivante :
http://uxar.free.fr/dotclear/index.php?Conseils-et-astuces

Dans les 5 messages (dont un nouveau) tu pourras y trouver pleins d'infos importantes...

Je mets à jour chaque Rubrique périodiquement, donc si tu penses l'avoir déjà lu détrompes toi, il y a toujours de quoi fouiner pour compléter ta recherche...


- Consultations médicales : N’hésitez pas à vous renseigner auprès de l’ambassade ou du consulat du pays dont vous ressortissez pour obtenir les coordonnées de médecins et de dentistes compétents. Certaines consultations se font parfois directement à l’ambassade…

En tant que ressortissants de l’Union Européenne et pour le cas où votre patrie ne soit pas représentée dans un pays, vous pouvez essayer de faire appel aux conseils d’une ambassade d’un autre pays de l’U.E….. A savoir !…

- Hôpitaux : Privilégiez avant tout les hôpitaux de reconnaissance internationale. Au Laos et au Cambodge, il est en général conseillé pour tout cas d’urgence de se rendre dans un hôpital en Thaïlande. Votre assurance de voyage pourra prendre en certains cas le transfert par ambulance ou hélicoptère vers un centre hospitalier de compétence internationale. A se renseigner…


- Un petit truc contre le hoquet !

(car il n'y a rien de con de donner un conseil qui peut rendre service !)

Lorsque l’on attrape le hoquet, il peut arriver que cela dure pendant des heures voire des jours entiers… Et cela devient entêtant et fort désagréable !...
Il faut savoir que c’est un réflexe du corps lorsque de l'air se trouve coincé entre le diaphragme et les poumons...
Alors, rester la tête en bas, boire un verre d’eau avec une cuillère coincé entre les dents, ou la fameuse frousse, çà ne marche pas du tout !...

Voici donc un truc perso :

Le fait de retenir sa respiration durant un bout de temps, procure au corps un besoin d'oxygène, et il va aller le chercher partout où il se trouve disponible...
Ensuite il faut expirer régulièrement et longuement afin de décharger le corps du gaz carbonique accumulé.
Recommencer ensuite de nouveau l'opération, raisonnablement et à plusieurs reprises en s'oxygénant bien entre chaque apnée... Cela devrait rapidement régler le problème qui n'est que physique, donc il faut proposer au corps une solution...

Essayez si cela vous arrive, vous m’en direz des nouvelles…


Pour finir, voici une histoire d’automédication personnelle :

Toujours d’après les mises en gardes inscrites au début de cette rubrique Santé, je voudrais vous retranscrire une expérience d’automédication personnelle en voyage, en se trouvant loin de personnels médicaux compétents…

Il m’est arrivé un jour d’être affecté par une MST en voyage. La question n’était pas autant de savoir comment je l’avais eu, mais surtout de savoir comment en guérir.
Il s’agissait d’un Gonocoque appelé Blénoragie, autrement dit en langage courant « une Chaude Pisse » quoi.
Non seulement cela s’avère être extrêmement douloureux, mais de plus cela peut entraîner des complications, stérilité voire cancer de la prostate (ou de l’utérus). Donc c’était très sérieux !...

Et hors de question d’aller faire des prélèvements pour les cultures souches dans le pays où je me trouvais !…
Ayant réussi à obtenir le nom des médicaments appropriés ainsi que les posologies, je me les procure facilement.
1g d’Amoxycilline 2 fois par jour pendant 10 jours
et 2g de Tinidazole en une prise le premier jour (sur place je n’ai trouvé que du Metronidazol, à priori c’est similaire).

Et rien, aucun résultat ni amélioration.
C’était de pire en pire ! La douleur était insupportable ! On dit que l’on « pisse « des lames de rasoir, je comprends pourquoi !...
Impossible de sortir dehors. J’avais envie d’aller uriner toutes les 2 minutes. Et pour rien ! 3 gouttes… J’en buvais des litres d’eau. Rien n’y faisait…

Après 8 jours de traitement inefficace, sachant toutefois que je souffrais bien de cette pathologie, j’ai approfondi mes recherches via internet sur des sites médicaux spécialisés et hospitaliers.

J’ai découvert que cette affection (la Blenoragie) peut-être liée en même temps à une autre bactérie (Chlamydia) et qu’il faut se traiter également pour cela.
Mais de surcroît, j’ai appris que la bactérie du Gonocoque a mutée et est devenue résistante aux antibiotiques dis classiques… Désormais le traitement spécifié doit se tourner vers des antibiotiques de 3ème génération, beaucoup plus sophistiqués…
Il y a différents antibiotiques appropriés, certains administrés en une seule prise par injection, d’autres en traitement plus long.

Voici ce que j’ai pu me procurer là où je me trouvais :
Il s’agit d’Ofloxacin 400mg 2 fois par jour pendant 7 jours pour l’une des bactéries
et de Doxycycline 200mg 2 fois par jour durant 7 jours aussi pour l’autre.
J’ai décidé de suivre le traitement pour 10 jours comme pour la première série d’Antibios…

Mon état a commencé à s’améliorer à partir du 4ème jour de traitement, lentement mais sûrement, pour être entièrement guéri à la fin des 10 jours.

En contrepartie, j’ai consommé des yaourts et des Yakult (boisson lactée aux Lactobacillus Caseï) pour renforcer mon système gastrique en « bonnes bactéries » pendant le traitement ainsi que dans les jours suivants.

Sachez que le traitement pour une femme est complété de capsules vaginales d’antibiotiques, une fois par jour le soir pendant 7 jours.
De la même manière que l’estomac, la flore vaginale souffre de ce traitement antibiotique local et doit être régénérée.
A défaut, déséquilibre et pertes blanches peuvent apparaître.

Il est donc préconisé de compléter le traitement par l’application ensuite de capsules vaginales composées de "Lactobacillus Caseï".

Mais dans un pays où la médecine n’est pas encore bien avertie ou pas suffisamment fournie en médicaments spécifiques, de tels traitements sont impossibles à se procurer !...

Alors le dernier conseil : l’on peut palier à cette carence en fournissant à la flore vaginale ces fameuses « bonnes bactéries », les Lactobacillus Caseï, en appliquant localement du yaourt ou des boissons lactées riche en cette substance…

Crise de fou rire assurées !....

Surtout quand on ne trouve pas de yaourt nature et qu’il n’y a dans toute une ville que des yaourts à la fraise, avec des fruits dedans !.....

Rien ne le prouve officiellement, mais laissez-moi vous dire que cela fonctionne comme traitement !...

Qu’on se le dise !......

Uxar



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